Portraits pour la presse écrite : l'exemple EBRA

Je ne suis pas journaliste. Cependant, mon travail est parfois publié dans la PQR depuis les débuts de l’aventure Strasbourg Photo en 2007. Gros plan sur des portraits pour la presse écrite.

Dès le début de mon aventure de photographe indépendant, j’ai travaillé pour la PQR.
En préambule, il faut savoir que les photographes de presse sont des journalistes.

Marie Wucher-Bonnard, cheffe pâtissière

Ainsi, les photojournalistes n’ont pas le droit de travailler pour des publications payées par des annonceurs.
Méditez cette question de déontologique de votre côté.

Si je n’ai pas de carte de presse, j’ai quand même parfois réalisé des photos de presse pour des journaux étrangers. Mais on s’écarte du sujet…

Les divers canards sont en partie financés par de la publicité, parmi laquelle on trouve parfois ce qu’on appelle des « publi-rédactionnels ».
Des insertions qui font par exemple la promotion d’ouvertures de magasin.
D’autres mettent en avant des salariés pour lesquels les boites payent une encart dans la presse, etc…
Les situations sont variées.

Ces derniers mois, on m’a confié plusieurs portraits pour la presse écrite. Ils ont illustré des publications locales du groupes EBRA intitulées « Mag’ville & Villages ».
Wasselonne, Molsheim, Obernai, ont eu droit à leur « Mag’ville & Villages ».

3 personnes sont donc passées devant mon objectif pour illustrer des rédactionnels qui présentent leurs activités respectives ces derniers mois :