Le groupe de Reggae Indika se produisait au Feg’stival à Fegersheim dans une ambiance très agréable. L’occasion pour moi de pratiquer un peu de photo de scène, discipline que j’affectionne particulièrement…

Un samedi soir de juin, une soirée libérée par un mariage passé en matinée, des copains qui jouent sur scène, deux merguez, une frite et quelques bières consommées avec modération : sympathique programme.

Des lumières, des attitudes : toujours sympathique de faire des photos d’un concert…

Indika, groupe de reggae strasbourgeois qui a fêté ses 10 ans cette année avec la sortie d’un disque que vous pourrez vous procurer en les contactant : http://indika-zic.net/
Ces neuf musiciens proposent une musique variée et rodée soutenant des textes bien ficelés. Voila pour le groupe…

Chauffe Marcel !

En terme de photographie, la gestion du cadre est importante pour tenter de traduire au mieux l’énergie et la dynamique d’un groupe à travers une image immobile (une photo, ça bouge rarement, voir jamais… et ça ne fait pas de bruit non plus).
Il ne faut pas hésiter à casser les codes horizontaux ou verticaux.
La lumière se gère aussi, mais avec un plaisir immense pour moi. On monte dans les ISO, on ouvre le diaph (pas à fond si on peut) et on essaye de trouver une vitesse adaptée…
Un set musical est rarement éclairé de la même manière du début à la fin et l’éclairage participe grandement à l’ambiance d’un spectacle.
Il faut savoir patienter, se déplacer, aller chercher l’image plutôt que d’attendre qu’elle s’impose à vous.
La photographie, c’est « écrire avec de la lumière » (au vrai sens étymologique)…
Un concert, me permet donc d’écrire des chapitres entiers et je me fais violence pour ne pas ramener trop d’images.