Début juin en Alsace. Contacté par la Société Générale, je me rends au Musée Würth réaliser un reportage institutionnel à l’occasion de la privatisation du Musée par la banque.
Les besoins en photo des sociétés et organismes sont exponentiels.
Avec la multiplication des canaux de diffusion de l’information et leur modernisation, une entreprise a aujourd’hui plus que jamais besoin d’images pour asseoir et illustrer ses propos.
Fort d’une longue expérience en communication d’entreprise, possédant le savoir-faire et le savoir-être pour ce type de demande, je satisfais depuis le début de mon aventure de photographe indépendant bon nombre de demandes en B to B, que j’apprécie particulièrement.
Le reportage institutionnel est un exercice que j’affectionne.
Cette fois-ci, donc, la banque invite certains de ses meilleurs clients pour une soirée privée au Musée Würth et fait appel à mes services pour immortaliser le moment.
Un cahier des charges clair et précis
Pour faire un bon reportage institutionnel, il faut une demande claire et précise. Le cahier des charges de ces travaux l’est : ramener des images permettant de valoriser les différents temps forts de l’événement.
– La visite privée de l’exposition temporaire par les clients de la banque invités pour l’occasion
– Les prises de paroles des dirigeants
– Le concert donné dans l’auditorium du Musée
– Le cocktail dinatoire et l’animation jazzy qui se déroulent en fin de soirée.
Un point de détail important : faire en sorte de ne pas déranger les invités et de ne pas les photographier ostensiblement de manière à préserver leur vie privée et leur droit à l’image.
Un reportage institutionnel de grande qualité
Armé de deux boitiers équipés d’une focale courte pour l’un et longue pour l’autre, j’évolue en toute discrétion au milieu des invités. Je privilégie des vues d’ensemble pour la visite du Musée de manière à noyer les clients dans des photos de groupes. Mais ces images permettent aussi de proposer des vues d’ambiance et générales (qui m’ont été demandées).
Puis vient le tour des discours. Je monte les ISOS, je fais fonctionner le correcteur d’exposition pour éviter de surexposer les intervenants qui sont sous le feu des projecteurs, et je shoote de manière régulière et cadencée pour ne garder que les images qui valorisent au mieux les orateurs.
Vient le temps du concert. J’évolue rapidement et discrètement au début du set musical pour m’éclipser et ne plus déranger personne par ma présence et les bruits de déclenchement de mes boitiers. Les invités finissent par sortir de l’auditorium au bout d’une heure pour profiter du cocktail dinatoire et de l’ambiance jazzy.
Moi, je termine mon reportage de manière professionnelle, et je plie bagage.
Voici les images réalisées pour ce reportage institutionnel.